Environnement, Sites Naturels
Etang de Bout de Bois Héric Sites naturels ou aménagés
Héric Plan d’eau de Bout de Bois – Parcours de santé – Roselière avec réserve ornithologique
- Pêche – Jeux enfants Parking voiture, autocar http://www.cceg.fr/jsp/site/Portal.jsp?page_id=383
En Loire-Atlantique, 17 biefs et 16 écluses permettent aux plaisanciers de passer de l’Erdre à la Vilaine. Pour compenser les pertes en eau engendrées par les éclusages et l’évaporation naturelle, le canal est alimenté par 5 réservoirs, des rigoles et des ouvrages hydrauliques (aqueducs, siphons, vannages, tunnels). Les principaux réservoirs sont : L’étang du grand Vioreau (7 451 000 m3 d’eau), l’étang de la Provostière (1 311 000 m3), l’étang du Petit Vioreau (504 000 m3), l’étang de Bout de Bois (256 000 m3), L’étang d’Aumée (1 400 000 m3)
L’étang du grand Vioreau (d’une capacité maximum de 7 451 000 m3 d’eau) est le plus grand réservoir du département. D’une superficie de 180 ha, c’est un barrage qui fait de lui en toute saison le réservoir d’eau du canal. L’étang de la Provostière (1 311 000 m3) fournissait à l’origine l’énergie hydraulique nécessaire au fonctionnement des forges existant à proximité. Puis il a été relié à l’étang de Vioreau par la rigole des Ajaux, pour compléter les réserves d’eau disponibles. L’étang du Petit Vioreau (504 000 m3) est accolé à celui du grand Vioreau.
L’étang de Bout de Bois (256 000 m3) complète le dispositif hydraulique et alimente en début de saison le bief de partage.
La gestion hydraulique quotidienne du canal et de ses dépendances assure ainsi une continuité de la navigation en tout point du réseau et toute l’année hors période de chômage, mais aussi l’alimentation des marais en eau, la fonction biologique des divers plans d’eau et de leurs environnements sans oublier la gestion des crues et des intempéries.
http://www.valderdre.fr/xjml517/index.php?option=com_content&view=article&id=98&Itemid=60
Au nord du Pays d’Ancenis, de grands plans d’eau constituent les réservoirs d’alimentation du canal de Nantes à Brest en Loire-Atlantique, compensant les pertes en eau du canal dues à l’éclusage et à l’évaporation naturelle.
Lac de Vioreau, grand réservoir de 220 ha construit spécialement à cette époque. Le Lac de Vioreau alimente ainsi le bief de partage de Bout de Bois, situé à Héric par une rigole alimentaire longue de 21 km.
Etang avec ceintures de végétation, roselière, cours d’eau. Intérêt botanique : Ceintures de végétation bien marquées. Présence de plantes rares comme Hymphoïdes peltata et Gratiola officinalis (protégée). Type de zone : 1 Altitude : 20 – m Surface : 36 ha
Dimanche 26 Mai 2013 Les Escapades Atlantique à Bout-de-Bois, à Héric / Saffré / La Chevallerais
Les Escapades nautiques : balade sur le plan d’eau ; kayak ; handi voile / Stand up paddle ; voile sur optimist ; aviron ; pêche sportive
Les Escapades sportives : boomerang ; tir à l’arc ; golf ; tir sportif ; sarbacane ; sport adapté (découverte des activités sportives pour les personnes atteintes d’un handicap mental) ; baptême à poneys et démonstration cavaliers ; balade à poneys ; manège de poneys ; balade en calèches ; aéro-trampoline ; randonnée pour les personnes à mobilité réduite ; randonnée pédestre ; sécurité routière à vélo ; escalade – mur artificiel ; parcours accrobranche ; tyrolienne ; chiens de traineaux Les Escapades nature : médiation animale ; découverte de la nature à vélo ; randonnée ; balade contée.
Le principe ? L’idée est simple et complexe à la fois : au cours d’une même journée et sur plusieurs sites dans toute la Loire-Atlantique, plusieurs dizaines d’activités physiques et sportives de pleine nature sont proposées à des participants de tous niveaux : aussi bien jeunes enfants, qu’adultes débutants ou expérimentés, mais aussi personnes handicapées. Objectifs pour le grand public ?
S’initier à des sports nouveaux, et lui permettre de s’informer sur les possibilités de pratiques sportives plus régulières, tout en rencontrant les clubs et associations qui animent le territoire tout au long de l’année ;
Faire découvrir des sites extérieurs, naturels ou de grande valeur, et mobiliser chacun sur la responsabilité individuelle et collective de protéger et préserver le patrimoine naturel du département.
http://escapades.loire-atlantique.fr/footer/a-propos
En Loire Atlantique, le canal emprunte successivement deux rivières :- l’Erdre pour le bassin de la Loire – l’Isac pour le bassin de la Vilaine.
Ces deux rivières sont raccordées par un canal de jonction qui permet de franchir grâce à 17 écluses, la ligne de partage des eaux Loire-Vilaine.
Cette voie d’eau artificielle (construite par des prisonniers espagnols) est reliée au grand réservoir de Vioreau (180 ha) par un canal d’alimentation long de 22 km. Il approvisionne en eau le point haut du canal au bief de partage de Bout-de-Bois à Héric.
Le réservoir de Vioreau est lui même alimenté par les étangs de la Provostière et de la Poitevinière (environ 75 ha chacun) grâce à la rigole alimentaire des Ajaux (une belle promenade sur 4-5 km). http://cerclevoilevioreau.fr/vioreau.html
Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique.ETANG DE BOUT-DE-BOIS
Etang artificiel situé sur le cours d’une petite rivière,avec ses ceintures de végétations constituées de roselières et de cariçaies bordées de prairies humides inondables.Intéressantes végétations aquatiques et amphibies,avec notamment certaines plantes d’intérêt patrimonial.
http://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/520013140/tab/commentaires
Animalia Aves (Oiseaux) Circus aeruginosus Reproduction 2003 Emberiza schoeniclus Passage ou migration 2003 Rallus aquaticus , Hivernant 2003
Plantae Equisetopsida () Gratiola officinalis L., 1989 Nymphoides peltata (S.G.Gmel.) 1989 Potamogeton lucens 1989
http://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/520013140/tab/especes
A chaque fois qu’une péniche descend d’un côté ou de l’autre de la crête par une écluse, elle soustrait 300 mètres cubes d’eau au bief de partage.
http://jb.lebourdon.free.fr/index.php?
Etang de la Martelière Les Touches Sites naturels ou aménagés
Etang paisible situé à une trentaine de kilomètres au nord de Nantes, dans un village de la commune des Touches. L’endroit est calme et ombragé, idéal pour une partie de pêche Des tables sont à votre disposition si vous voulez pique-niquer en famille.
Constitué de deux étangs séparés par un pont, la superficie totale du plan d’eau est d’environ un hectare et demi.
L’étang étant privé, des cartes de pêche sont en vente à la superette Vival situé dans la commune des Touches face à l’église ( voir plan d’accès ), soit à la journée, soit à l’année pour les plus assidus, pas besoin de carte nationale. La vente des cartes permet l’entretien et l’alevinage de l’étang…
Comité des fêtes de la Martelière.
D’une superficie d’un hectare et demi, l’étang est divisé en deux parties séparées par un pont. La pêche se fait soit dans l’un soit dans l’autre.
L’alevinage a été réparti de manière égal dans les deux parties pour toutes les catégories de poissons, blancs et carnassiers.
De nombreuses espèces vivent dans cet étang, on trouve des poissons blancs: gardons, brèmes, tanches et pour les amateurs on trouve aussi des belles carpes communes ou miroir, et on trouve aussi des carnassiers: perches, black-bass, brochets ( pas de sandre, ni silure ni poisson chat )
La pêche aux poissons blancs est autorisé toute l’année sauf pendant les périodes d’alvinage ou la pêche reste fermée pendant deux mois. Les dates de fermeture seront mise sur ce site. La pêche aux Brochets est interdite tous les ans du 1er janvier au 20 mai durant la période de reproduction .
Règlement général :
La carte qui donne le droit de pêche dans le plan d’eau de la Martelière aux Touches est obligatoire. Elle autorise 4 lignes – ouverture du 1er janvier au 31 décembre. Une demi-heure avant le lever du soleil et une demi-heure après le coucher du soleil. Aucune place n’est réservée ; interdiction de laisser du matériel sans surveillance. L’association se réserve le droit, en cas de nécessité et par tous les moyens dont elle dispose de prélever du poisson dans le plan d’eau. Après chaque alevinage, la pêche sera interdite pendant une durée déterminée par le bureau et affichée près du plan d’eau. Tout apport de poissons est interdit dans le plan d’eau sauf l’alevinage effectué par « le comité des fêtes ». Tout pêcheur doit présenter sa carte de pêche à la demande du garde privé.
http://etangdelamarteliere.pagesperso-orange.fr/
Étang de La Martelière : un hectare et demi pour pêcher – Les Touches mercredi 06 février 2013
D’une superficie d’un hectare et demi, l’étang de La Martelière est divisé en deux parties séparées par un pont et accessibles à la pêche. L’alevinage a été réparti de manière égale pour toutes les catégories de poissons blancs et carnassiers. De nombreuses espèces vivent dans cet étang : gardons, brèmes, tanches, ainsi que de belles carpes communes ou miroirs. Des carnassiers sont aussi présents : perches, black-bass et brochets. Le sandre, le silure, le poisson-chat sont absents de l’étang. La carte qui donne droit de pêche, pour quatre lignes, dans ce plan d’eau est obligatoire. Des cartes sont vendues : 5 € à la journée et 30 € à l’année. Ouverture du 1 er janvier au 31 décembre (1/2 heure avant le lever du soleil et 1/2 heure après le coucher du soleil). La pêche aux carnassiers est interdite du lundi 1 er juillet au lundi 20 mai. Contact. Dominique Marmet, La Ducheté, tél. 02 40 72 44 69.
Circuit de La Chauminette Une randonnée Les Touches postée le mercredi 27 février 2013 Partez à la découverte du bocage « Touchois » et de ses petits chemins creux. Prenez ensuite le chemin creux sur votre droite qui descend à l’étang de « La Martelière ». Traversez ensuite l’étang par la passerelle et remontez le chemin face à vous.
http://www.visorando.com/randonnee-circuit-de-la-chauminette/
Deux aires de piques-niques (situées au Parc du Mont Juillet et à l’étang de la Martelière).
Profitez du parc du Mont Juillet, de ses aménagements (aire de pique-nique et de jeux pour enfants) et de son panorama situé au pied du calvaire (ancien moulin à vent). Sur votre chemin, apercevez tour à tour, l’ancienne Cure(fondations datant du XIV° siècle, visible du parc du Mont Juillet) et le Manoir du Bois Souchard (situé près des terrains de sport).
http://www.visorando.com/index.php?component=rando&task=showRandoPrint&idRandonnee=20448
L’Erdre à Port Mulon(Rivière) Nort/Erdre Sites naturels ou aménagés
La commune est bordée par l’Erdre qui y devient navigable jusqu’à Nantes. L’édification d’une chaussée par l’évêque St Félix au vie siècle a provoqué l’inondation des marais de l’Erdre, rendant ainsi la navigation sur l’Erdre possible jusqu’à Nort. La commune s’est développée principalement grâce à son activité commerciale.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nort-sur-Erdre
« La plus belle rivière de France! » François 1er avait déjà succombé au charme ensorceleur de l’Erdre. Aujourd’hui encore, elle captive et fascine, capturant le promeneur au gré de ses 30 km de fil d’eau entre l’écluse Saint Félix (Nantes) et le Pont Saint Georges (Nort sur Erdre).
L’Erdre est une succession de parties étroites et rocheuses et de grands plans d’eau ouverts, où les parties boisées alternent en permanence avec les belles propriétés. Ce rapport intime entre l’homme et la nature est certainement sa grande richesse.
L’Erdre en effet se métamorphose tout au long de sa descente depuis l’Anjou vers la Loire. D’abord sauvage, elle s’ouvre à la navigation à partir de Nort sur Erdre, offrant alors ses replis ombragés aux pêcheurs au fil de son voyage. Site classé, sa vallée s’ouvre soudain sur les parcs à l’anglaise entourant châteaux et belles demeures, avant de gagner Nantes au rythme des dériveurs et avirons et de goûter au parfun oriental de l’île de Versailles.
http://eden-sur-erdre.pagesperso-orange.fr/pages/pagestour/acctour.htm
L’Erdre, petite rivière qui naît à La Pouèze près de Candé, ne prit l’aspect qu’on lui voit en aval de Nort-sur-Erdre que par suite de son barrage à Nantes par la chaussée de Barbin, construite au 6e siècle par l’évêque Saint-Félix. Cette chaussée, aujourd’hui remplacée par une écluse au confluent avec la Loire à Malakoff, releva le niveau des eaux en amont ; ceci permit l’ennoiement des marais qui rendaient la vallée insalubre et la navigation jusqu’à Nort-sur-Erdre.
La rivière s’élargit ainsi en une succession de lacs, les « plaines », en particulier celles de Mazerolles
http://www.sucesurerdre.fr/jsp/site/Portal.jsp?
L’Erdre prend sa source à la Pouëze près d’Angers. Elle traverse les départements du Maine-et-Loire et de la Loire-Atlantique, affluent (en rive droite) de la Loire où elle se jette à Nantes.
Longue de 97 km, son parcours se divise en trois grandes parties : de la Pouëze jusqu’à Candé, l’Erdre est un petit ruisseau. Puis elle s’élargit en petite rivière jusqu’à Nort-sur-Erdre : c’est la Haute Vallée de l’Erdre. Après Nort-sur-Erdre, l’Erdre s’élargit à nouveau, devient navigable jusqu’à Nantes, à la confluence avec la Loire. Cette partie de la rivière est empruntée par le Canal de Nantes à Brest où elle traverse les marais de la plaine des Mazerolles (Saint-Mars-du-Désert – Sucé-sur-Erdre).
L’Erdre est une ancienne rivière marécageuse qui abrite un écosystème riche et fragile, classée zone Natura 2000. La consultation très intéressante de ce classement fait état de nombreuses espèces animales et végétales : la loutre, de nombreuses variétés de chauve-souris (grands rhinolophes, murins, oreillards, pipistrelles), d’amphibiens dont le triton crêté, d’insectes comme la lucane cerf-volant, et les oiseaux qui nichent en grand nombre dans les marais et sur les rives, sans oublier une abondante flore. Ce statut de protection contraint tous les acteurs à agir avec discernement sur ce territoire.
http://www.club-kayak-erdre.fr/erdre
La vallée de l’Erdre représente l’un des maillons de ce vaste ensemble de zones humides. Elle offre une remarquable diversité de milieux humides : forêts alluviales, roselières marécageuses plus ou moins envahies par la saulaie, prairies inondables, tourbières, …
Le site Natura 2000 des marais de l’Erdre s’étend sur 2 565 ha de zones humides situées de part et d’autre de la partie navigable de la rivière Erdre, depuis les communes de la Chapelle/Erdre (rive droite) et de Carquefou (rive gauche), en aval jusqu’à la commune de Nort/Erdre, en amont. Il se compose de vastes marais plus ou moins entretenus par l’agriculture et d’un ensemble de petites zones humides, souvent situées dans les bas fonds de vallons ou le long des affluents de l’Erdre et des douves.
Les principales caractéristiques hydrauliques de la rivière sont les suivantes* :
Longueur : 98 km, dont 30 km de voie navigable et environ 15 km en zone Natura 2000
Largeur maximale : 1 km sur les plaines de Mazerolles, avec des secteurs à fort étranglement (pont de Sucé, traversée de la ville de Nantes)
Profondeur : de quelques centimètres à plusieurs mètres en fonction du degré de l’envasement. Le tirant d’eau sur le chenal de navigation doit être maintenu à 1m60 (minimum légal défini par arrêté préfectoral) Superficie du bassin versant : 975 km2
Crue : Fort potentiel d’écrêtement des crues en raison de la présence de plus de 2 000 ha de marais concentrés principalement dans la zone Natura 2000. On constate un décalage d’environ trois jours entre les pointes de crue à l’amont et à l’aval des marais (exemple de la crue de 1995).
Ce faisant elle traverse successivement deux unités paysagères distinctes : une vaste dépression marécageuse entre Nort-sur-Erdre et Sucé délimitée par des collines, puis sur les derniers kilomètres, un plateau homogène qui délimite le val de Loire.
• L’Erdre aval, de Nort-sur-Erdre à Nantes, peut faire figure de plan d’eau avec son niveau régulé par l’écluse de St Félix.
l’Edre aval est composé de :
o de Nort-sur-Erdre à la Poupinière, un tronçon constitue la limite amont de l’Erdre naviguable ; il assure la transition avec les marais o de la Poupinière à la Guillonière, l’Erdre traverse un large bassin occupé par des marais couvrant 2500 ha
o de la Guillonière à la Beaujoire, la vallée se resserre et s’encaisse dans le plateau du pays nantais
o de la Beaujoire à la confluence, l’Erdre traverse l’agglomération nantaise et ses abords deviennent très artificialisés.
Sa confluence totalement remodelée avec la Loire peut être considérée comme un sous-secteur.
www.loire-atlantique.gouv.fr/…/1_azi_erdre_rapport.pdf
L’Erdre à Vault (rivière) Nort/Erdre Sites naturels ou aménagés
L’Erdre sauvage, serpentant campagne et sous-bois, permet la pratique du canoë. Le site de Vault, aménagé en gîtes ruraux, gîte d’étape et aire de pique-nique, est un point de départ de randonnées en direction des arcades.
La mairie possède plusieurs gîtes sur le site de Vault situé à quelques kilomètres du centre ville et offrant un environnement de calme de détente. Tout au long de l’année, ils sont proposés à la location, à la semaine ou au week-end. Un Site d’exception : un ancien moulin à eau en bordure de la rivière de l’Erdre.
Sur place : Location de canoës, aire de pique- nique, sanitaires et douche publiques
A proximité : Sentiers de randonnées, bateaux électriques, visites commentées et accompagnées, concerts, expositions avec l’Office de Tourisme Intercommunal… Gîtes ruraux 2 épis (3, 5, 6 places), Gîtes d’étape (18 lits) Rez-de-chaussée : salle commune avec cheminée, cuisine équipée, 1 dortoir 10 lits, dortoir 8 lits – Grange disposant de 10 boxes à chevaux
http://www.nort-sur-erdre.fr/jsp/site/Portal.jsp?page_id=165
L’Erdre sauvage, serpentant campagne et sous-bois, permet la pratique du canoë. Le site de Vault, aménagé en gîtes ruraux, gîte d’étape et aire de pique-nique, est un point de départ de randonnées en direction des arcades.
www.cceg.fr/document?id=2990&id_attribute=18
Au bord de l’Erdre, ancienne maison de minotier du XVIIIème siècle comprenant 3 gîtes près d’un gîte de groupe. Jardinet privatif et barbecue. Le plus : sentiers de randonnée et location de canoës sur place. Nombreuses activités à Nort-sur-Erdre (4 km).
http://wcf.tourinsoft.com/Syndication/
L’Erdre prend sa source à la Pouëze près d’Angers. Elle traverse les départements du Maine-et-Loire et de la Loire-Atlantique, affluent (en rive droite) de la Loire où elle se jette à Nantes.
Longue de 97 km, son parcours se divise en trois grandes parties : de la Pouëze jusqu’à Candé, l’Erdre est un petit ruisseau. Puis elle s’élargit en petite rivière jusqu’à Nort-sur-Erdre : c’est la Haute Vallée de l’Erdre. Après Nort-sur-Erdre, l’Erdre s’élargit à nouveau, devient navigable jusqu’à Nantes, à la confluence avec la Loire. Cette partie de la rivière est empruntée par le Canal de Nantes à Brest où elle traverse les marais de la plaine des Mazerolles (Saint-Mars-du-Désert – Sucé-sur-Erdre).
http://www.club-kayak-erdre.fr/erdre
Longue d’environ 98 kms, l’Erdre prend sa source dans le département du Maine-et-Loire, sur la commune de la Pouëze. Elle se dirige tout d’abord d’Est en Ouest en traversant un paysage agricole composé de prairies et de cultures. Puis, au niveau de l’étang de Vioreau, en Loire-Atlantique, le cours d’eau de la rivière s’infléchit vers le sud, en direction de Nort/Erdre.
http://marais-erdre.n2000.fr/sites/all/files/marais-erdre/files/documents/plaquette-info/
vallée ou coule une rivière lente bordée de versants boisés,de prairies bocagères,de peupleraies et d’un canal. Intérêt floristique: Riche végétations pré-vernales et vernales en sous bois et en bordure de l’Erdre avec entre autre trois espèces végétales rares,dont une protégée sur le plan régional.
Intérêt entomologique: La vallée de l’Erdre abrite une intéressante diversité d’odonates et de lépidoptères rhopalocères avec en particulier six espèces de libellules ou d’agrions et deux espèces de papillons rares en Pays de la Loire,dont deux protégées sur le plan national.
Le cours de la rivière avec des faciès d’eaux courantes sablo-graveleux abrite une ichthyofaune d’intérêt patrimonial pour le département dont certaines espèces, rares ou peu courantes pour le département, sont caractéristiques de ce type de cours d’eau et indicatrices d’une eau de de bonne qualité et d’un milieu aquatique de qualité en bon équilibre.
Commentaires sur la délimitation : Le périmètre de la zone inclue l’ensemble des habitats intéressants sur le plan floristique et faunistique en relation avec la vallée de l’Erdre ainsi que le cours de la rivière abritant une ichthyofaune d’intérêt patrimonial pour le département. La délimitation de la partie aquatique s’appuie sur l’ensemble des faciès potentiellement favorables aux espèces déterminantes d’intérêt patrimonial capturées lors de pêche électrique zones de courants, présences de radiers, fonds sablo-graveleux…
http://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/520006611/tab/commentaires
• L’Erdre amont, entre la source et Nort-sur-Erdre, se présente comme une petite rivière calme, coulant au fond d’une vallée faiblement encaissée et étroite.
Entre Joué-sur-Erdre et Nort-sur-Erdre, l’Erdre oblique brutalement son cours vers le sud, au droit de la Marchanderie, comme « attirée » par le bassin d’effondrement de Nort. De ce fait, elle quitte l’unité de Saint-Georges-sur-Loire pour aborder un secteur plus complexe. Entre Vaux et Nort, on distingue une zone de transition avec « l’Erdre aval ». La vallée, très sauvage, dans ce tronçon s’élargit doucement, pour atteindre une largeur de 400 m à Nort et les zones humides dans le lit majeur apparaissent.
Avant Nort-sur-Erdre les hameaux de Vaux et de la Métairie constituent les derniers enjeux sur la partie amont du cours d’eau.
A cet endroit, la topographie de la plaine alluviale a été fortement modifiée par le creusement d’un plan d’eau accompagné de remblaiements qui perturbent l’identification des unités hydrogéomorphologiques, d’autant plus que la vallée est étroite.
Jusqu’à Nort sur Erdre, elle est appelée Haute vallée de l’Erdre.
http://doreonline.free.fr/Cybel/Navigation/Erdre.htm
Parc du Manoir de la Garenne Nort/Erdre Sites naturels ou aménagés
La Garenne Il semblerait que le manoir de la Garenne ait été construit en plusieurs fois : la partie ancienne doit dater de la seconde moitié de la seconde moitié du XVIIe siècle. Des améliorations et agrandissements semblent avoir été effectués au début du XVIIIe siècle.
Henry de Boisfleury, frère de la dernière propriétaire 1993.
Proprétaires de la Garenne : 1683 : Jean Sotin (sieur de vieillecour, sénéchal)
1912 : Pierre de Boisfleury
1988 : Achat de la Garenne par la commune de Nort/Erdre.
Le Manoir de la Garenne.
En 1988, une partie du parc est achetée. Le 21 juin 1989, achat des bâtiments et du reste du parc
Association gestionnaire des services de halte-garderie et de centre aéré (ces bâtiments offrent un cadre fonctionnel et accueillant à la disposition des enfants.
Dans le corps central du manoir réside toujours un locataire qui, en même temps sert de gardien à la demeure.
Quant au parc, une partie est réservée au « verger coservatoire » dirigé par les « ainés ruraux ».
Sur le terrain communal une centaine de variétés de pomme est cultivée.
Extraits d’un mémoire de Géographie rurale rédigé par Gaëlle Epié en 1996
Bulletin de l’association Honort 1998
Le Parc du Manoir de la Garenne
A la sortie de Nort sur Erdre, sur la route d’Héric, une agréable propriété communale donne la possibilité aux promeneurs d’apprécier l’allée des châtaîgniers (vieux de plus de 200 ans), le petit bois et son cours d’eau (Le Riot) en contrebas. Le Manoir et sa tour carrée datent du début du XVIII’ siècle.
http://www.valderdre.fr/xjml517/index.php?option=com_content&view=article&id=89&Itemid=81
Le Verger Conservatoire de la Garenne
Le verger, d’une superficie de 3000 m2, constitue une véritable mémoire vivante du patrimoine arboricole, grâce à la plantation de 180 variétés de pommes sauve- gardées. L’entretien du verger est assuré par l’association des « Aînés Ruraux » qui organise la Fête de la Pomme (le dernier samedi de septembre) et des visites accompagnées. www.cceg.fr/document?id=2990&id_attribute=18
Parc du Château de Port-Mulon Nort/Erdre Sites naturels ou aménagés
Le Parc du Château du Port Mulon
Situé en bordure de l’Erdre, ce parc, que l’on peut rejoindre à partir du plan d’eau, offre d’agréables balades au milieu d’arbres majestueux aux essences rares et variées (une signalétique est en place).
Quant au château, il remonterait au XVIII’ siècle; aujourd’hui, il abrite un Centre de Langues Vivantes, des expositions et des salles de réception.
Cette propriété de 15ha a appartenu aux familles COINQUET de 1824 à 1894 et de BEJARY de 1894 à 1971 avant d’être acquis par la commune de Nort-sur-Erdre
http://www.valderdre.fr/xjml517/index.php?option=com_content&view=article&id=89&Itemid=81
Le parc du Port-Mulon et ses arbres aux essences rares dans notre région (cyprès chauves, plaqueminier de Virginie).
Chaque année depuis 1998, Nort Sur Erdre accueille le festival de La Nuit De L’Erdre. D’abord localisé sur le site du plan d’eau en centre ville, c’est désormais sur le site du parc du Château du Port-Mulon, au bord de l’Erdre, que chaque années plusieurs milliers de festivaliers viennent assister à des concerts éclectiques. Dans un premier temps programmé sur une seule journée, La Nuit De L’Erdre se déroule depuis 2011 sur deux jours. De nombreux artistes confirmés sont venus au fil des ans se produire sur scène comme Tryo, Yannick Noah, Calogero, Manu Chao, C2C, Zazie, Jean-Louis Aubert, Shaka Ponk..
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nort-sur-Erdre
Château du 18° siècle qui abrite aujourd’hui un centre de langues et des expositions durant l’été. Son parc permet de profiter d’agréables balades, dans un milieu aux espèces végétales rares et en bordure de rivière.
http://www.gralon.net/themes/special-vacances-ete.htm
Circuit du Port Mulon
Partez à la découverte du Château du « Port Mulon » et de son parc arboré.
La commune de NORT-SUR-ERDRE avait la particularité de comporter 3 ports de tailles et de fonctions différentes. Seuls deux subsistent aujourd’hui: le Port du Bassin et le Port Mulon.
Ce dernier est situé près d’un château du XIX° siècle. Il fut la demeure de Prosper François Barthélémy COINQUET; maire de la commune de 1860 à 1874 et de 1877 à 1892.
Le château est entouré d’un parc arboré aux abords de l’Erdre. Certains arbres qui le composent, sont des essences rares dans notre région: cyprès chauves, plaqueminier de Virginie (appelé couramment Kaki)…
http://www.visorando.com/randonnee-circuit-du-port-mulon/
Le Parc du Port-Mulon et ses arbres aux essences rares dans notre région (cyprès chauves, plaqueminier de Virginie appelé couramment Kaki
Le Château du Port-Mulon. Ce fut la demeure de Prosper François Barthélémy Coinquet, maire de Nort de 1860 à 1874 et de 1877 à 1892. A cette même époque, ce célèbre personnage nortais, organisait des dîners littéraires et des soirées musicales pour ses invités nantais.
http://www.nort-sur-erdre.fr/jsp/site/Portal.jsp?page_id=89
Une fois encore la ville de Nort-sur-Erdre accueille dans le parc du château du Port-Mulon, le meilleur de la scène actuelle !
Comme chaque année, le festival de La Nuit de L’Erdre invite des artistes connus, issus de tous horizons musicaux : chanson française, musique électronique, reggae… un mélange qui promet une ambiance des plus explosives et qui a déjà vu passer Louis Bertignac, Zazie, Manu Chao, Calogero, Jean-Louis Aubert ou encore Yannick Noah !
PARC DU PORT-MULON
Au cœur du territoire d’Erdre et Gesvres, la commune de Nort-sur-Erdre accueille chaque année une pléiade d’artistes et des milliers de festivaliers sur 2 jours. Le festival se déroule dans l’enceinte du parc du Port-Mulon, d’une superficie de 5 ha. En été, le parc permet de profiter d’agréables balades, dans un milieu aux espèces végétales rares et en bordure de la rivière l’Erdre. Ce lieu privilégié abrite le château du Port-Mulon, bâtisse datant du 18ème siècle. Aujourd’hui, le château a été aménagé en centre de langues et des expositions durant l’été.
http://www.lanuitdelerdre.fr/lieu.php
Le château de Port-Mulon Une des demeures rachetée par la mairie afin de sauvegarder le patrimoine.
Ce Château a été racheté à la famille Béjarry en 1971.
Il possède 3 niveaux : Au sous-sol un foyer de jeunes
Au rez-de-chaussée, des salles à louer pour l’animation et des salles d’exposition.
Au premier étage, un centre de langues vivante qui date de 1991.
Le château est entouré d’un parc sur lequel on a installé un camping municipal en 1978.
Extraits d’un mémoire de Géographie rurale rédigé par Gaëlle Epié en 1996.
Bulletin de l’association Honort 1998
Plaines de la Poupinière Petit-Mars Sites naturels ou aménagés
Nom : MARAIS DE MAZEROLLES ET PETIT-MARS Surface calculée dans le SIG : 2489 ha
44026 CARQUEFOU 44027 CASSON 44110 NORT-SUR-ERDRE 44122 PETIT-MARS 44179 SAINT-MARS-DU-DESERT
44201 SUCE-SUR-ERDRE Intérêt du milieu :
Zone humide comprenant une rivière élargie en vaste plan d’eau (les plaines) et un ensemble de marais avec roselières, bois hygrophiles et tourbières. Ce site d’une valeur exceptionnelle accueille en période de reproduction une avifaune nicheuse remarquable (Spatule blanche, Bihoreau gris, Sarcelle d’hiver et d’été, Canard souchet, Busard des roseaux, Gorgebleue, Locustelle luscinoïde, Panure à moustaches…). Ces marais sont aussi un lieu d’étape migratoire, ainsi qu’un site d’hivernage important pour diverses espèces d’oiseaux (Grand cormoran, Butor étoilé, Canard souchet et pilet, Fuligule milouin, Combattant varié, Bécassine des marais…).
Nom : PLAINE DE MAZEROLLES ET DE LA POUPINIERE Surface déclarée : 254 ha
44110 NORT-SUR-ERDRE 44122 PETIT-MARS 44201 SUCE-SUR-ERDRE Commentaire général :
Vastes plans d’eau, les plaines, formés par l’élargissement de l’Erdre, bordés de marécages, peuplés localement d’herbiers aquatiques. Cette zone en relation étroite avec les marais de Mazerolles entre autre, constitue l’une des plus importantes remises (réserves de chasse fluviales) pour les anatidés en particulier, hivernant et migrateurs, en vallée de l’Erdre. Elle est aussi essentielle pour la reproduction (haut-fonds sablo-graveleux, roselières rivulaires) et la croissance de diverses espèces de poissons. Réapparition récente de la Loutre d’Europe.
Espèces déterminantes : 10 espèce(s) déterminante(s) recensée(s) dans cette ZNIEFF.
Ostéichthyens ou poissons osseux » Anguilla anguilla (Anguille européenne) ? – ? ? – ?Esox lucius (Brochet) ? – ? ? – ?
Oiseaux » Alcedo atthis (Martin-pêcheur) ? – ? ? – ? Anas acuta (Canard pilet) P ? – ? ? – ? Anas clypeata (Canard souchet) P ? – ? ? – ?
Anas crecca (Sarcelle d’hiver) P ? – ? ? – ? Anas strepera (Canard chipeau) P ? – ? ? – ?
Aythya ferina (Fuligule milouin) P ? – ? ? – ? Aythya fuligula (Fuligule morillon) P ? – ? ? – ?
Mammifères » Lutra lutra (Loutre)
La Vallée et les Marais de l’Erdre Cette vaste zone se caractérise par la présence de marais, de tourbières de part et d’autre de l’Erdre (rivière élargie en vaste plan d’eau), comportant de remarquables variétés de groupements des milieux aquatiques aux roselières, prairies humides, aulnaies et landes tourbeuses.
Les marais de Petit Mars situés à l’ouest de la commune appartiennent au vaste site des marais de Mazerolles, vieux d’environ 7000 ans. Ceux-ci s’étendent sur 1130 hecta- res le long de l’Erdre, sur les communes de Petit Mars, Sucé sur Erdre et Saint Mars du Désert.
Les Plaines de Mazerolles et de la Poupinière s’étendant en partie sur Petit Mars
Les plus importantes étendues d’eau sur l’Erdre sont concernées par ce site où s’étendent, en périphérie, des boisements inondés (Aulnaie, Caricaie)
.Les intérêts ornithologiques, ichtyologiques et botaniques sont développés. Les plaines de Mazerolles et de la Poupinière sont la première zone de remise hivernale d’anatidés dans toute la vallée de l’Erdre. D’importants stationnements peuvent parfois regrouper plusieurs centaines, voire plusieurs milliers d’individus à certaines périodes. Cette zone est également essentielle pour la reproduction et la croissance des diverses espèces fréquentant la rivière (en particulier le Sandre)
http://www.valderdre.fr/v_villes/petitmars_00.php
Les plaines de Mazerolles et de la Poupinière sont la première zone de remise hivernale d’anatidés dans toute la vallée de l’Erdre. D’importants stationnements peuvent parfois regrouper plusieurs centaines, voire plusieurs milliers d’individus à certaines périodes.
Cette zone est également essentielle pour la reproduction et la croissance des diverses espèces fréquentant la rivière (en particulier le Sandre).
Les Plaines de Mazerolles et de la Poupinières’étendent en partie sur Petit Mars Ce marais est composé de prairies humides pâturées, roselières, aulnaies,
trous d’eau, douves et landes tourbeuses. Des niveaux d’eau peu élevés en moyenne et l’existence d’un rivage découvert en période d’inondation renforcent le caractère attractif de la physionomie végétale pour l’avifaune (tous les canards de surfaces sont présents)
http://www.cceg.fr/download/2006_guide_touristique.pdf
Marais de Blanche-Noë Nort-sur-Erdre Sites naturels ou aménagés
La Loire-Atlantique constitue une région particulièrement riche en marais intérieurs (Grande Brière, lac de GrandLieu, Marais Breton et de la Loire,…). La vallée de l’Erdre représente l’un des maillons de ce vaste ensemble de zones humides. Elle offre une remarquable diversité de milieux humides : forêts alluviales, roselières marécageuses plus ou moins envahies par la saulaie, prairies inondables, tourbières, …
Le site Natura 2000 des marais de l’Erdre s’étend sur 2 565 ha de zones humides situées de part et d’autre de la partie navigable de la rivière Erdre, depuis les communes de la Chapelle/Erdre (rive droite) et de Carquefou (rive gauche), en aval jusqu’à la commune de Nort/Erdre, en amont. Il se compose de vastes marais plus ou moins entretenus par l’agriculture et d’un ensemble de petites zones humides, souvent situées dans les bas fonds de vallons ou le long des affluents de l’Erdre et des douves.
Marais de Blanche-Noë Les marais de Blanche Noë (195 ha), localisés sur la rive droite de l’Erdre, sont situés dans une cuvette en pente douce orientée selon un axe Nord-Sud. A l’origine, ils sont à classer dans les tourbières de types infra-aquatique (tourbe noire formée sous l’eau par accumulation de débris de plantes aquatiques). Cependant, les stations de tourbe ont aujourd’hui disparu suite à l’abaissement de la nappe d’eau.
Ces marais sont connectés à l’Erdre au droit de la plaine de la Poupinière, par la Grande Douve passant au sud du marais. Cette dernière d’une longueur d’environ 1,5 km, coule parallèlement au canal de Nantes à Brest et répercute, en période de crue, les variations du niveau de la rivière.
http://natura2000.mnhn.fr/uploads/doc/PRODBIOTOP/133_FR5200624.pdf
Flûteau nageant (Luronium natans) Cette plante aquatique inscrite à l’Annexe 2 de la Directive a été certifiée dans les douves des marais de Blanche-Noë. Elle est potentiellement présente sur d’autres marais de l’Erdre en raison de la multitude de mares et de fossés, à eau oligotrophe acide, répartis sur l’ensemble du secteur. Il apparaîtrait cependant, que l’eutrophisation récente des eaux détectable au cœur même des zones les plus pauvres en éléments nutritifs (Logné, Blanche Noë), par un fort développement de lentilles, ait fait régresser cette espèce, qui a peut être même disparu d’un certain nombre de stations.
Le Triton crêté (Triturus cristatus) Cet amphibien fréquente habituellement les mares du bocage jouxtant les marais. Cependant, quelques observations ont été faites dans les marais de Mazerolles et de Blanche-Noë. La population de Triton crêté est fortement menacée sur le site, essentiellement en raison du comblement naturel ou volontaire des milieux aquatiques (fossés et mares surtout), nécessaires à sa reproduction.
Le Loutre d’Europe (Lutra lutra) Ce mammifère connaît actuellement en Loire-Atlantique une période de reconquête, encore timide, de ces bastions originels dont l’Erdre a fait partie et qui est réinvestie par l’espèce seulement depuis quelques années. La loutre réoccupe prioritairement les vastes marais centraux (Mazerolles, …) et la rivière proprement dite, dont les caractéristiques piscicoles lui sont actuellement favorables.
Les communautés à Nymphoides peltata Ces petites communautés flottantes, considérées comme rares dans la région, restent encore bien présentes dans les petites douves peu profondes, souvent ombragées par le couvert arbustif. Les plus belles stations ont été repérées dans la partie endiguée du marais de Mazerolles et dans quelques canaux du marais de Blanche-Noë.
Les marais connaissent une évolution progressive vers le boisement et la friche, surtout dans les zones basses des marais où la pratique de la fauche est rendue très difficile avec les machines agricoles modernes (sols humides, peu portants).
Par ailleurs, la déprise agricole s’est accentuée ces dernières années et une minorité de ces espaces est encore occupée par l’agriculture.
D’autres parcelles de marais sont maintenues ouvertes grâce à l’intervention de gestionnaires privés ou associatifs y exerçant des activités professionnelles ou de loisirs : navigation, pêche, chasse.
Cette régression marquée des zones ouvertes au profit d’une végétation ligneuse, est défavorable à la biodiversité des marais, même si certains boisements présentent un intérêt écologique (héronnières, …).
En homogénéisant le milieu, ces boisements font peu à, peu disparaître des habitats naturels et des espèces remarquables.
Le cas des marais de Blanche Noë est représentatif de la fermeture des milieux que l’on rencontre sur l’ensemble des marais de l’Erdre, depuis plus de 50 ans. La progression des boisements s’est faite à partir des îlots boisés déjà existants, mais également à partir des douves. En effet, les rideaux d’arbres bordant les douves tendent à se développer, en s’éloignant du fossé, à la manière d’une haie bocagère en bordure d’une parcelle abandonnée.
http://eden-sur-erdre.pagesperso-orange.fr/telechargements/doc/N2000/part2_docob.pdf
Le Nymphoides peltata (Faux Nénuphar , Petit Nénufar pelté ) est une vivace aquatique, très rustique, aux feuilles ressemblant à celles des nénuphars, mais plus petites. Ses fleurs, jaune d’or, à bords frangés apparaissent à quelques centimètres au dessus de l’eau en juillet-août.
C’est une plante vigoureuse, aimant les terres riches et les expositions ensoleillées.
http://www.jardindupicvert.com/
Le Flûteau nageant (Luronium natans ) est une petite monocotylédone des milieux aquatiques qui fréquente une grande diversité d’habitats : mares et étangs oligotrophes, rivières à courants , fossés de drainage, bauges à sangliers ou mares intraforestières.
Endémique européenne, l’espèce a vu son aire de répartition diminuer fortement au cours du dernier siècle, raréfaction principalement liée à la destruction des zones humides ou aux changements dans les modalités de leur utilisation
http://www.developpement-durable.gouv.fr/Plan-national-d-actions-2012-2016.html
Marais de Mazerolles Saint-Mars du Désert Sites naturels ou aménagés
Couvrant aujourd’hui près de 800 hectares, il constitue une véritable richesse écologique d’où son classement Natura 2000 (système de protection des zones d’intérêt écologique, faunistique et floristique). Il appartient à des propriétaires privés. Une partie de la zone de marais est aujourd’hui endiguée, l’autre est restée à l’état naturel.
www.cceg.fr/document?id=2990&id_attribute=18
Situé sur la rive gauche de la rivière Erdre au nord de Nantes, le marais de Mazerolles, zone d’expansion des crues, représente une superficie de 1250 hectares dont la majeure partie est isolée par une digue de tourbe. Ce marais tourbeux comprend des dépressions naturelles ou artificielles, mares, bosquets et bois humides d’aulnes, roselières et prairies. En période d’inondation, cette vaste frayère à brochets accueille aussi des milliers d’anatidés et de limicoles en hivernage et en halte migratoire. Plusieurs espèces d’oiseaux d’intérêt communautaire s’y reproduisent aussi dont la Spatule blanche.
L’exploitation industrielle de la tourbe, outre la création de bassins profonds et rectilignes, provoque un assèchement brutal des marais au printemps. L’abandon des pratiques agricoles traditionnelles (fauche, pâturage) entraîne l’extension des boisements et la disparition des prairies. Enfin, il existe des projets de production d’eau potable à partir de la réserve aquifère sous la couche tourbeuse dont les impacts ne sont pas connus à ce jour.
La LPO Loire-Atlantique recherche par le biais de conventions de gestion avec les propriétaires et les agriculteurs des marais à préserver les secteurs d’intérêt majeur pour l’avifaune (colonie de Spatules, halte migratoire anatidés et limicoles). Des outils de sensibilisation seront créés (Observatoire, brochures, expositions…) et de nombreuses actions seront menées (animations, sorties-découverte,…).
http://loirenature.com/article.php3?id_article=56
Les marais endigués de Mazerolles Localisé en rive gauche de l’Erdre, les marais de Mazerolles constituent une immense tourbière plate infra-aquatique, d’une surface d’environ 1 200 ha, s’étendant du Nord au Sud des plaines de la Poupinière jusqu’aux plaines de Mazerolles.
A partir de 1960, une digue en tourbe de 6 km a été construite le long de l’Erdre pour valoriser tant sur le plan agronomique qu’industriel (exploitation de tourbe) une partie du marais. Cette digue a donc scindé celui-ci en 2 entités distinctes : le marais endigué au nord et le marais sauvage au sud, couvrant
respectivement 830 ha et 375 ha.
http://natura2000.mnhn.fr/uploads/doc/PRODBIOTOP/133_FR5200624.pdf
ZNIEFF 520006644 – PARTIE DU MARAIS DE SAINT-MARS A L’AVANT DE LA DIGUE « MARAIS SAUVAGE »
2ème génération Superficie (ha): base: 472
Vaste tourbière infra-aquatique (bas-marais) peuplée de roselières, de carigaies plus ou moins colonisées par les taillis marécageux, sillonné de douves et d’anciennes boires, et actuellement en partie exploitée par les tourbiers. Végétations caractéristiques fort intéressantes comprenant tout un lot d’espèces végétales rares et protégées au niveau régional et national. Remarquable richesse et diversité faunistique, avec en particulier divers oiseaux nicheurs caractéristiques des milieux aquatiques et palustres intéressant (Passereaux paludicoles, Rapaces, Rallidés, Anatidés). Présence d’une remarquable diversité d’Odonates (Libellules, Agrions, Demoiselles) entre autre, avec plusieurs espèces plus ou moins rares et vulnérables. Réapparition récente de la Loutre d’Europe.
Espèces Déterminantes : 67 espèces
http://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/520006644/tab/commentaires
L’Erdre (rivière) Petit-Mars Sites naturels ou aménagés
L’Erdre, petite rivière qui naît à La Pouèze près de Candé, ne prit l’aspect qu’on lui voit en aval de Nort-sur-Erdre que par suite de son barrage à Nantes par la chaussée de Barbin, construite au 6e siècle par l’évêque Saint-Félix.
Cette chaussée, aujourd’hui remplacée par une écluse au confluent avec la Loire à Malakoff, releva le niveau des eaux en amont ; ceci permit l’ennoiement des marais qui rendaient la vallée insalubre et la navigation possible jusqu’à Nort-sur-Erdre.
La rivière s’élargit ainsi en une succession de lacs, les « plaines », en particulier celles de Mazerolles.
L’Erdre devint alors, jusqu’au milieu du 19e siècle, une voie de communication majeure.
La navigation commerciale déclina ensuite pour cesser en 1975.
Dès le 18e siècle, les rives de l’Erdre attiraient à Sucé des nantais qui y construisirent de nombreux châteaux, folies ou villas.
L’Erdre est classée Grand site national depuis 1998. Elle est un site privilégié pour les loisirs nautiques, et des croisières sont organisées afin de découvrir son patrimoine.
La vallée de l’Erdre est concernée par un site classé (1300 ha) et un site inscrit (1000 ha). L’unité abrite les Marais de Mazerolles : Vieille d’environ 7000 ans, cette zone d’expansion des crues représente une superficie de 1250 hectares, qui s’étend le long de l’Erdre.
En 1960 – 1961, il est décidé de créer des polders, pour permettre aux agriculteurs de cultiver le marais asséché pendant une période de l’année.
Mais les conditions climatiques font de cette orientation agricole un échec. L’exploitation de la tourbe aura duré 30 avant d’être interdite en 2010. les Marais de Mazerolles sont aujourd’hui classés site Natura 2000.
La Tourbière de Logné est quant à elle protégée par un arrêté de biotope depuis 1987. Vieille de 4000 ans, cette zone humide d’environ 100 hectares est menacée d’assèchement, de pollution des eaux et de boisement, mais fait l’objet de restauration avec différents programmes dont Natura 2000.
http://www.paysages.loire-atlantique.gouv.fr/?_pg=paysage&_p=4&_up=5&_ssup2=77&_action=see
Considérée comme la plus belle rivière de France par François 1er, l’Erdre se distingue par ses marais et tourbières qui jalonnent ses rives.
Son milieu aquatique remarquable vous offrira une multitude de roselières, de prairies humides, d’aulnaies et de landes tourbeuses.
Bordée par six communes (Héric, Les Touches, Nort-sur-Erdre, Petit Mars, St Mars du Désert et Sucé-sur-Erdre) la Vallée de l’Erdre détient un patrimoine architectural riche et varié.
http://www.cceg.fr/jsp/site/Portal.jsp?page_id=361
« La plus belle rivière de France! » François 1er avait déjà succombé au charme ensorceleur de l’Erdre. Aujourd’hui encore, elle captive et fascine, capturant le promeneur au gré de ses 30 km de fil d’eau entre l’écluse Saint Félix (Nantes) et le Pont Saint Georges (Nort sur Erdre).
L’Erdre est une succession de parties étroites et rocheuses et de grands plans d’eau ouverts, où les parties boisées alternent en permanence avec les belles propriétés. Ce rapport intime entre l’homme et la nature est certainement sa grande richesse.
L’Erdre en effet se métamorphose tout au long de sa descente depuis l’Anjou vers la Loire. D’abord sauvage, elle s’ouvre à la navigation à partir de Nort sur Erdre, offrant alors ses replis ombragés aux pêcheurs au fil de son voyage. Site classé, sa vallée s’ouvre soudain sur les parcs à l’anglaise entourant châteaux et belles demeures, avant de gagner Nantes au rythme des dériveurs et avirons et de goûter au parfun oriental de l’île de Versailles.
http://eden-sur-erdre.pagesperso-orange.fr/pages/pagestour/acctour.htm
Longue de 97 km, son parcours se divise en trois grandes parties : de la Pouëze jusqu’à Candé, l’Erdre est un petit ruisseau. Puis elle s’élargit en petite rivière jusqu’à Nort-sur-Erdre : c’est la Haute Vallée de l’Erdre. Après Nort-sur-Erdre, l’Erdre s’élargit à nouveau, devient navigable jusqu’à Nantes, à la confluence avec la Loire. Cette partie de la rivière est empruntée par le Canal de Nantes à Brest où elle traverse les marais de la plaine des Mazerolles (Saint-Mars-du-Désert – Sucé-sur-Erdre).
L’Erdre est une ancienne rivière marécageuse qui abrite un écosystème riche et fragile, classée zone Natura 2000. La consultation très intéressante de ce classement fait état de nombreuses espèces animales et végétales : la loutre, de nombreuses variétés de chauve-souris (grands rhinolophes, murins, oreillards, pipistrelles), d’amphibiens dont le triton crêté, d’insectes comme la lucane cerf-volant, et les oiseaux qui nichent en grand nombre dans les marais et sur les rives, sans oublier une abondante flore. Ce statut de protection contraint tous les acteurs à agir avec discernement sur ce territoire.
http://www.club-kayak-erdre.fr/erdre
Ce faisant elle traverse successivement deux unités paysagères distinctes : une vaste dépression marécageuse entre Nort-sur-Erdre et Sucé délimitée par des collines, puis sur les derniers kilomètres, un plateau homogène qui délimite le val de Loire.
• L’Erdre aval, de Nort-sur-Erdre à Nantes, peut faire figure de plan d’eau avec son niveau régulé par l’écluse de St Félix.
l’Edre aval est composé de :
o de Nort-sur-Erdre à la Poupinière, un tronçon constitue la limite amont de l’Erdre naviguable ; il assure la transition avec les marais o de la Poupinière à la Guillonière, l’Erdre traverse un large bassin occupé par des marais couvrant 2500 ha
o de la Guillonière à la Beaujoire, la vallée se resserre et s’encaisse dans le plateau du pays nantais
o de la Beaujoire à la confluence, l’Erdre traverse l’agglomération nantaise et ses abords deviennent très artificialisés.
Sa confluence totalement remodelée avec la Loire peut être considérée comme un sous-secteur.