Pays de Blain Patrimoine de Pays

Patrimoine de Pays du Pays de Blain

Fontaine ND de Bonne Nouvelle                      La Chevallerais               Petit Patrimoine

Proche de l’actuelle église et de la mairie, cette fontaine est liée au culte de Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle.      On raconte que c’est près de cette source qu’un chevalier blessa son compagnon de chasse au XVIIe siècle.                        Il implora Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle de sauver son ami et fit le vœu de construire une chapelle en ce lieu.  Elle fut construite en 1620 et brûlée en 1793 lors de la retraite des Vendéens.

On peut donc penser qu’il a été sauvé…

http://otsi.blain.free.fr/index.php/fr/visiter/eglise-de-la-chevallerais.html

La fontaine Notre-Dame-de-Bonnes-Nouvelles, située près de la mairie, date approximativement du XVIIe siècle

http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chevallerais

Fontaine Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle (1889). Elle était la principale source d’approvisionnement en eau des habitants de la commune. Le petit édifice en briques couvert par un toit à double-batière qui existe actuellement date de 1889 et remplace un édifice du XVIIè. Au-dessus du portillon d’accès à la source se trouve un ex-voto qui remercie la Vierge d’avoir protégé la commune durant la dernière guerre. La fontaine se trouve derrière la mairie, qui était une ancienne école.

http://lafrancedesclochers.xooit.com/t86-Chevallerais-La-44810.htm

Le territoire de Chevallerais appartient en 1550 à messire de Montauban, époux de Catherine de Viesque. Cet espace est couvert de forêt jusqu’en 1620, date à laquelle est érigée la chapelle Notre-Dame de Bonne-Nouvelle. Elle aurait été édifiée à la suite d’un accident de chasse dont l’auteur involontaire aurait promis son érection, si sa victime guérissait de ses blessures. Ces chasseurs appartenaient à la noblesse et se considéraient comme des chevaliers, d’où le nom donné au lieu de leurs rendez-vous : LA CHEVALLERAYE.

La chapelle fut incendiée en 1794 par les patriotes du district de Blain, lors de la retraite des Vendéens. La statuette de Notre Dame de Bonnes Nouvelles fut miraculeusement sauvée par une fillette à qui l’un des soudards la confia, elle fait toujours partie du patrimoine paroissial. Une église est édifiée en 1853 et remplace la chapelle qui avait été reconstruite.

La fontaine elle aussi sous le vocable de Notre-Dame de Bonne Nouvelle était la principale source d’approvisionnement en eau des habitants de la commune. L’édifice actuel qui protège la source date de 1889, il a été réalisé en brique et couvert d’un toit à double-bâtière, il a remplacé un édicule du XVIIème siècle. De chaque côté du portillon sont apposés des ex-voto remerciant la Vierge pour sa protection de la commune lors de la Seconde Guerre Mondiale. Sur celui du centre est gravée la mention suivante : Reconnaissance à Notre-Dame de Bonnes Nouvelles 1939-1945. A l’intérieur de l’édifice sur le mur du fond l’épigraphe : « Notre Dame de Bonne Nouvelle priez Dieu pour nous » était accompagnée d’une statue représentant la Vierge l’enfant Jésus dans ses bras, celle-ci n’est plus visible aujourd’hui.

http://www.fontainesdefrance.info/historiques/historique-fontaine-lachevallerais.htm

La fontaine Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle était la principale source d’approvisionnement en eau des habitants de la commune. L’édifice actuel qui protège la source date d’une certaine époque, Il a été réalisé en brique et couvert d’un toit à double bâtière, il a remplacé un édicule du XVIIème siècle.

Autrefois, le territoire était une forêt qui rejoignait celles de la Groulais et de Saffré. La construction d’une chapelle, dite du Voeu, daterait de 1620.

Elle aurait été consécutive à un accident de chasse dont l’auteur involontaire aurait promis cette construction dédiée à Notre Dame de Bonnes Nouvelles, si sa victime guérissait de ses blessures. Ces chasseurs appartenaient à la noblesse, se considéraient comme des chevaliers, d’où le nom donné au lieu de leurs rendez-vous :

http://www.geocaching.com/

Proche de l’actuelle église et de la mairie, cette fontaine est liée au culte de notre dame de bonne nouvelles. Peut-être est-ce près de cette source que le chevalier Blesse son compagnon au XVII Siècle et y fait le voeu de la construction de la chapelle. Cette fontaine était la principale source d’approvisionnement en eau des gens de la commune.

http://otsi.blain2.free.fr/1chevallerais.htm

La construction d’une chapelle, dite du Voeu, premier élément figurant dans les archives de Saffré, daterait de 1620.Elle aurait été consécutive à un accident de chasse dont l’auteur involontaire aurait promis cette construction dédiée à Notre Dame de Bonnes Nouvelles, si sa victime guérissait de ses blessures. Ces chasseurs appartenaient à la noblesse, se considéraient comme des chevaliers, d’où le nom donné au lieu de leurs rendez-vous : LA CHEVALLERAYE.

Francedesclochers.xooit.com

Pont de Vilhouin                     Fay de Bretagne                      Petit Patrimoine

26 janvier 2013 Fay-de-Bretagne : Le Pont de Villhoin sera consolidé.         Le village de Fay de Bretagne (Faouell) en Loire-Atlantique abrite, tout à l’ouest de son territoire, en limite de Bouvron, une petite merveille cachée. Un pont dit « romain », à Vilhouin, qui est en fait gothique (XIIIe-XIVe siècle) et se trouve tout au bout de la retenue d’eau du même nom (sur le territoire communal de Bouvron) qui alimentait jadis deux moulins à foulon.

Le pont de Vilhouin est perdu dans les arbres et les broussailles, et depuis longtemps, certains demandaient à éclaircir la jungle locale. Seulement, « si on abat les arbres, le pont tombe », nous précise Mme Sardais, maire de Fay. Les racines des arbres se sont en fait étroitement mêlées aux fondations du pont. Une consolidation a été budgétée par la mairie et sera réalisée en 2013. Les conditions techniques du projet ne sont pas encore connues et un cabinet d’études sera missionné.

http://breizhjournal.wordpress.com/2013/01/

le pont de Vilhouin (Moyen Age), qui enjambe le ruisseau du Pont-aux-Meuniers ; http://www.infobretagne.com/fay-de-bretagne.htm

Fay de Bretagne : un pont gothique sera consolidé Saluons la volonté de la mairie de Fay (Faouell) d’entretenir son patrimoine.

Le pont médiéval de Villhouin, situé à l’ouest de la commune, au bout d’une retenue d’eau qui jadis alimentait deux moulins à foulon, s’étant en partie écroulé, il a été décidé, après avoir missionné un cabinet d’études en raison de la complexité du dossier, d’inscrire les travaux de restauration au budget 2013.

http://www.sppef.fr/tag/pont-de-vilhouin/

Circuit des Baugères – Fay de Bretagne (11 km) circuit pédestre, équestre et VTT

Le pont gothique à deux arches enjambe le ruisseau du Pont aux Meuniers, en aval de la retenue d’eau de Vilhouin où se situaient deux moulins, l’un et l’autre à foulon. Ce pont est aussi appelé «Pont Romain». http://www.tracegps.com/fr/parcours/circuit10436.htm#

Un foulon, du latin fullo, est un bâtiment (le plus souvent un moulin à eau, gynaeceum en latin) où l’on battait ou foulait les draps, ou la laine tissée dans de l’argile smectique pour les assouplir et les dégraisser. Le moulin était exploité par un ouvrier foulon ou foulonnier. Il pouvait aussi servir pour les cuirs et peaux.

Le principe de fonctionnement est un arbre entraîné par une roue hydraulique qui tourne devant une batterie de maillets, placés en position de bascule au-dessus des cuves à drap ou autre textile ainsi que pour le tannage des peaux

On utilisait de la terre à foulon, ou argile smectique (une argile qui a la propriété d’absorber les matières grasses), pour le foulonnage des laines afin de dégraisser les étoffes2. Cette opération permettait aussi de resserrer les fibres du tissu pour lui donner de l’épaisseur et du moelleux. Le battage hydraulique, avec de lourds maillets de bois frappant de la laine tissée, est une opération d’apprêt complémentaire du filage et du tissage ; le foulage pouvait apporter jusqu’à 50 % de plus-value par rapport à une pièce de tissu non foulée3.

Les moulins à foulons étaient aussi employés par les mégissiers pour le battage des peaux, des cuirs.

Les moulins à foulon se sont développés, depuis l’antiquité, sur les lieux où on disposait d’une source abondante en eau et, autant que possible, peu éloignés des élevages de moutons producteurs de laine. Ces moulins qui ont un gros besoin en eau, se sont développés sur les cours d’eau au profit de petits seigneurs, qui en détenaient les droits seigneuriaux dans le cadre des banalités. Ceux-ci les baillaient à des fermiers, qui utilisaient des ouvriers foulons ou foulonniers. Avec Henri IV, les moulins à foulons sont règlementés, voire contrôlés et deviennent des « manufactures ».

Ces installations sont, ou étaient, en usage dans toutes les régions du monde, où le lavage de la laine ou le tannage des peaux demandait une grande manutention et une quantité d’eau disponible. Avec l’essor industriel, au xixe siècle, ces moulins ont été, à quelques exceptions près, remplacés par des installations modernes; principalement pour la fabrication du feutre de l’industrie chapelière. https://fr.wikipedia.org/wiki/Foulon_(moulin)

Fouler des draps consistait en les dégraisser puis à les feutrer pour les rendre plus doux et plus souples…

Autrefois le foulonnage était réalisé dans des moulins à foulons , installés sur les rivières, le foulonnage exigeant une grande force motrice

Pour cela, on plaçait l’étoffe dans une cuve remplie d’eau et de terre glaise (dégraissage), puis elle était frappée successivement par trois paires de pilons mus par la force hydraulique ( foulage) http://patrick.serou.free.fr/definition-fouler.html

A.− TECHNOL. Comprimer, presser quelque chose en appuyant de façon répétée avec les mains, les pieds ou par un moyen mécanique. TEXT. Fouler les étoffes. Les apprêter, les travailler dans un foulon. On foule le drap pour le rendre plus ferme, plus serré (Ac.1835).Les noms d’Argile smectique, Smectite ou Terre à foulon sont appliqués aux argiles qui servent à fouler les draps (Lapparent, Minér.,1899, p. 480). http://www.cnrtl.fr/definition/fouler

le manoir de Vilhouin ou Ville-Houin (1950). Il s’agit du siège d’une seigneurie de haute, moyenne et basse justice s’étendant sur plusieurs paroisses : Bouvron, Fay et Campbon. Elle possédait jadis une chapelle privée, un étang et un moulin à eau. En 1538, Vilhouin appartenait à Jean Le Bel, seigneur de la Rochefordière. Propriété des familles Cadoran, Jacques Cassard et Fourché de Quéhillac. La demeure passe entre les mains de Jacob Pineau (Pinault) des Bois-Briand, vers 1679, de la famille Pierre Fourché de Quéhillac vers 1681, de la famille Walsh de Serrant vers 1775, puis de la famille Waldeck-Rousseau au XIXème siècle. Détruit sous l’occupation allemande, le manoir est reconstruit vers 1950 ; http://www.infobretagne.com/bouvron.htm

Le siège de cette seigneurie était situé à l’est de la commune, dans la frairie de Paribou, à la limite des paroisses de Bouvron et Fay, au bord d’un petit ruisseau allant se jeter dans l’Isac. LEBEL (vers 1503 – vers 1540) Le premier seigneur de Vilhouin que mentionnent les archives est l’écuyer Guillaume LEBEL. Toutefois, on trouve aussi des mentions de Guillaume et Jean Lebel, en Bouvron, sans autres précisions, dès 1494 et 1500.

http://www.bouvron-haute-bretagne.fr/bouvron%20et%20ses%20villages.html

Croix des quatre contrées                         Le Gâvre                      Petit Patrimoine

Sentier d’interprétation de 2h, au départ de la Croix des 4 Contrées près de la forêt du Gâvre (fléchage Voie Romaine) depuis Conquereuil.

http://guemene-penfao.stationverte.com/ht/guemene-penfao/la-voie-romaine_s693_t195123_60.html

Départ du sentier: la Croix des Quatre Contrées.      Arrivée: Allée des chênes au Grand Pont-Veix.                        Longueur du parcours: 4 kilomètres.

Durée du parcours: environ 2 heures.

Croix des Quatre Contrées Les Rogations L’orée de la forêt du Gâvre est notre point de départ. Mais avant de nous mettre en route, regardons la lande s’animer au loin. Des bannières multicolores ondulent à l’horizon et le vent porte l’écho chanté des litanies

✵. Ce sont les processions des Rogations…

Elles arrivent de quatre communes : Vay, le Gâvre, Marsac, Conquereuil et se rejoignent ici au pied de la Croix des Quatre Contrées. Proche du bois sacré des druides, les villageois viennent implorer le ciel pour les biens de la terre et les travaux des hommes.

Les Rogations (du latin rogare, demander) étaient un mélange de religion et de traditions païennes s’étendant aux trois jours précédant le jeudi de l’Ascension. Le premier jour était consacré au foin, le deuxième au blé et le troisième au sarrasin.

Les rites agricoles primitifs étaient repris sous forme de processions. Celles ci conduites par les marguilliers, parcouraient la campagne, de calvaire en calvaire, pour attirer sur les champs, la bénédiction du Ciel. La poussière de la route, le poids des croix et la longueur du chemin donnaient soif. Les tonneaux de cidre étaient mis en perce, et chaque halte était prétexte à se désaltérer. Le retour au village était joyeusement et rondement mené…

Cependant, la tradition voulait que l’on s’abstienne de faire la lessive pendant ces trois jours, sous peine de deuil dans la famille.

“Lessive aux Rogations, cercueil à la Moisson “.

http://www.mairie-guemene-penfao.fr/iso_album/circuit_d_interpretation.pdf

Cette très grande croix en granit, de 1850 proche de l’ancienne voie romaine, porte ce nom car elle est érigée sur la commune de Vay à la limite du Gâvre ; de Guénouvry et de Marsac. Son fût octogonal porte une croix latine. Elle repose sur un socle rectangulaire avec entablement de pierre bleue directement construit sur le perron de pierre bleue.

http://www.vay.fr/PATRIMOINE-BATI.html

Axe de circulation très ancien, cette voie romaine reliait Nantes à Rennes. Aujourd’hui, elle se découvre magnifique, telle un chemin creux, du départ de la Croix des 4 Contrées, depuis l’extrémité de la Forêt domaniale du Gâvre, jusqu’au site de Pont-Veix à Conquereuil.

http://www.gralon.net/tourisme/loisirs-culturels/info-voie-romaine-guemene-penfao-3973.htm

À l’époque gallo-romaine, Blain étant un centre secondaire (un vicus) de la cité des Namnetes, le site de Curin Note 1 sur la voie romaine Angers-Blain-Rieux4-Vannes fut pourvu de thermes. D’autre part, la voie romaine Nantes-Blain-Rennes traversait l’actuel territoire communal entre l’Emion et le Haut Luc5, d’où elle gagnait Conquereuil par Grand Pont Veix (pons vetus, vieux pont) sur le Don. http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_G%C3%A2vre

Après la conquête de la Gaule,les Romains y tracèrent deux voies importantes. L’une reliait Juliomàgus (Angers) à Vorganium (Carhaix).

L’autre voie reliait Condate (Rennes) à Condevincum (Nantes) par Blain, qui était un centre gallo-romain important.

SITE des JEUNES du M.R.J.C. (Mouvement Rural de la Jeunesse Chrétienne) http://muides2.free.fr/G%E9n%E9alogie/Orain/histoire%20de%20bains.htm

Voie Romaine de Pont-Veix – Conquereuil

Sur les traces des Romains et des Jacquets, Pont Veix est un lieu de fréquentation très ancien, puisque là, l’ancienne voie romaine menant de Nantes à Rennes passe le Don.

C’est là aussi qu’une hostellerie fut construite par les moines du prieuré de Marsac sur Don, pour accueillir les pèlerins en route vers St-Jacques-de-Compostelle. Un secteur pavé récemment mise en valeur, la voie romaine est facilement identifiable sur les cartes IGN mais c’est en approchant le site de Pont-Veix qu’elle laisse découvrir toute une portion encore pavée. Un sentier d’interprétation. A l’aide d’un carnet de route, découvrez ce sentier touristique d’une façon originale et très agréable ! A l’aide du carnet de la Fée Joyance, parcourez l’ancien chemin celte devenue voie romaine. Mais avant de partir, imaginez les landes d’autrefois, à perte de vue une contrée sauvage et déserte en remontant le temps, vous allez y faire de bien étranges rencontres.

http://www.bretagne-tourisme-hebergements.com/ille-et-vilaine/monuments-redon.html