Pays de Blain Environnement

sites naturels ou aménagés du Pays de Blain

Etangs du Pont-Neuf              Blain                   Sites naturels ou aménagés

Sur St Emilien de Blain, les étangs du Pont Neuf sont un cadre à découvrir… Il s’y organise plusieurs fois par an des concours de pêche (à la truite…), et les installations du site accueillent diverses festivités locales.                L’association propose des cartes de pêche à la journée

http://otsi.blain.free.fr/index.php/fr/pratiquer/peche.html

Lots Martins Pêcheurs Nantais                      Le Gesvres (Nantes) Le Cens (Nantes) La Chézine (Nantes)

Etang du Pont Neuf (Saint Emilien de Blain) Etang du Préfailly (Vigneux de Bretagne)

Réglementation de la pêche Réglementation générale – 2 cannes maxi – 1 brochet ou sandre par jour et par pêcheur

Statut Eau libre du domaine privé : réciprocité Poissons Gardon, brochet, black bass http://lagaulenantaise.fr/articles.php?lng=fr&pg=189

Nom ASSOCIATION DE LOISIRS LES ETANGS DU PONT NEUF Objet Cette association a pour but de mettre à disposition de ses membres ou des autres associations et des particuliers une zone comprenant les étangs afin d’y pratiquer la pêche, des piques niques ou d’autres formes de loisirs compatibles. Peut également être louée la salle Lieu de pratique Site des Etangs du Pont Neuf http://www.ville-blain.fr/tri/element/list/3//////enabled

Fête des boudins dimanche 27 et lundi 28 à St-Emilien – Blain mercredi 23 mai 2012

À Saint-Emilien, le week-end de la Pentecôte est traditionnellement consacré à la fête des boudins, organisée par le comité interassociatif des Étangs du Pont-Neuf. « Pour cette 23 e édition, nous organisons une randonnée à la découverte des fours de Saint-Emilien, annoncent les organisateurs. Ces fours ont été rénovés par l’Association de sauvegarde du patrimoine émilianais. Dans le four de Guény, les pâtés seront cuits et servis aux repas du midi et du soir. »

Les festivités débuteront sur le terrain des Étangs, dès dimanche matin, à partir de 8 h, par la randonnée des fours. De 8 h à 17 h, le vide-greniers et le marché artisanal seront ouverts (2,50 € le mètre linéaire). L’après-midi, un concours de boules aura lieu à partir de 13 h 30 (10 € par équipe). Et bien sûr, midi et soir, repas de boudins (réservation obligatoire pour le repas du midi, vente sur place pour le repas du soir). En fin de soirée, un feu d’artifice et un bal clôtureront cette première journée. Lundi 28, place aux amateurs, avec le concours de pêche toute la matinée. Début du concours à 9 h, inscriptions à partir de 8 h 30.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Fete-des-boudins-dimanche-27-et-lundi-28-a-St-Emilien-_44015-avd-20120523-62890745_actuLocale.Htm

Chaque AAPPMA a négocié avec un certain nombre de riverain le droit de passage pour les pêcheurs. Grâce à la réciprocité, un pêcheur membre d’une AAPPMA peut aller sur les lots des autres AAPPMA de Loire-Atlantique.

Ci-dessous, la liste des lots de pêches par AAPPMA. Pour connaitre en détail la localisation du site, il convient de contacter directement les AAPPMA.

Le Martin Pêcheur Nantais

Bassin versant de l’Erdre Rivière « Le Cens » à Nantes Rivière « Le Gesvres » à Nantes

Affluents de la Loire Rivière « La Chézine » à Nantes

Affluent du canal de Nantes à Brest Plan d’eau du Pont Neuf à Saint-Emilien-de-Blain http://www.federationpeche44.fr/spip.php?article149

Sur St Emilien de Blain, les étangs du Pont Neuf sont un cadre à découvrir… Il s’y organise plusieurs fois par an des concours de pêche (à la truite…), et les installations du site accueillent diverses festivités locales. L’association propose des cartes de pêche à la journée. Elle a pour but de mettre à disposition de ses membres ou des autres associations et des particuliers une zone comprenant les étangs afin d’y pratiquer la pêche, des pique-niques ou d’autres formes de loisirs compatibles. Peut égal. Il y a également possibilité de louer la salle.

http://wcf.tourinsoft.com/Syndication/cdt53/301bf8af-e62c-41a7-92c4-ad5e28d30a1e/object/LOIPDL044V500BIC/ETANGS-DU-PONT-NEUF-BLAIN

La société de pêche du Chevesne Pontenois fut créée le 3 août 1927 par un groupe de pêcheurs des ponts de Nantes, d’où l’appelation « Chevesne Pontenois », le Chevesne étant un poisson vivant fréquemment autour des piles de pont. La société qui a connu jusqu’à plus de 1000 pêcheurs dans les années fastes, n’ent comptabilise plus que 750 aujourd’hui. Depuis 1971, elle s’est associée aux deux autres sociétés nantaise, la Gaule Nantaise et le Martin-Pêcheur Nantais pour former l’Entente Nantaise. http://www.federationpeche.fr/44/associations.php?association=1452

L’Entente Nantaise – Qu’est ce que l’Entente ?

C’est un regroupement de la GAULE NANTAISE, du CHEVESNE PONTENOIS et des MARTINS PÊCHEURS NANTAIS qui a été créé en 1971 et dont le but principal est d’avoir une carte de pêche commune aux trois associations. La GAULE NANTAISE a en charge la collecte des cartes pour l’Entente et assure la répartition des recettes entre les trois associations en fonction de ratios préétablis. L’Entente a pour but également d’avoir une politique concertée dans le domaine de la défense des intérêts piscicoles et de leurs intérêts respectifs. Des réunions trimestrielles sont organisées dans ce sens. Une convention lie les trois associations. http://lagaulenantaise.fr/articles.php?lng=fr&pg=101

Canal de Nantes à Brest                       Blain                   Sites naturels ou aménagés

Le canal de Nantes à Brest, une belle inutile.

Près de 360 kilomètres jalonnés de 232 écluses, telle est la distance parcourue par le canal de Nantes à Brest au travers des quatre départements de la Loire-Atlantique, du Morbihan, des Côtes d’Armor et du Finistère. Cette entreprise, dont la réalisation devait s’écouler sur une trentaine d’années, trouve son origine dans les guerres napoléoniennes. En effet, il s’agissait non seulement d’ouvrir une nouvelle voie navigable à l’intérieur des terres mais encore de contourner le blocus maritime imposé par l’Angleterre et surtout d’assurer l’approvisionnement du plus vaste de nos arsenaux. Les travaux commencèrent en 1806. On y employa notamment 400 prisonniers de guerre espagnols, logés pour la circonstance au château de Blain. Achevée la première, la portion du canal située en Loire-Atlantique fut inaugurée en janvier 1834. On pouvait alors, en franchissant une vingtaine d’écluses, parcourir la centaine de kilomètres séparant Nantes de Redon. Très rapidement concurrencé par le chemin de fer, le canal de Nantes à Brest eut, du point de vue économique, une existence des plus brèves. En effet, si, au cours de la seule année 1838, près de 6000 navires franchirent l’écluse de Nantes, la navigation commerciale ne cessa par la suite de diminuer et cessa progressivement dans les années 1960 pour faire place au tourisme fluvial qui connaît aujourd’hui un grand développement.

Bretagne Loire-Atlantique Gal’Art édition 1999 p 157.

Voie d’eau de 360 km, 236 écluses, pour une dénivellation de 555 m. Aménagement de huit rivières; Erdre, Isac, Oust, Blavet, Doué, Kergoat, Hyères, Aulne.

Création de trois canaux de jonction pour relier successivement ces rivières en franchissant des reliefs; liaison Erdre-Isac (Bief de partage Bout de bois), liaison Oust-Blavet (bief Hilvern-Bel-Air), liaison Blavet-Aulne (Bief de partage Glomel).

Le Petit-Futé 2009-2010 Loire-Atlantique p 93.

Entre 1890 et 1914, la navigation sur le canal atteignit la moyenne annuelle de 35000t. Elle ralentit puis disparut à cause de la construction en travers du canal, du barrage de Guerlédan, en 1928, et surtout du développement des transports routier et ferroviaire. Depuis les années 1960, des « coches d’eau », des péniches de plaisance, ont remplacé les bateaux marchands. A Blain, Guenrouët, et St Nicolas-de-Redon, des quais spacieux aux maçonneries bien ordonnées rappellent cette époque prospère. Le Mistral, dernier automoteur pour le transport de sable de la Loire, cessa son activité en 1977.

Guide Gallimard 1998 Nantes-Côte de Jade p 323.

Lancée par l’empereur Napoléon 1er en 1804, la construction du Canal commence en fait en 1811 et s’achève en 1842, première année de libre navigation sur toute sa longueur. La section de Nantes à Redon comporte 17 écluses dont 9 sur les communes de Blain et La Chevallerais.

Le canal est longtemps utilisé comme voie commerciale, pour le transport par péniche. Au Port de Blain, au début du siècle dernier, on déchargeait des denrées alimentaires, des barriques de vin, du sable de Loire, des engrais…Et la péniche repartait avec un fret de pommes à cidre, de troncs de chêne, de sabots du Gâvre, de charbon de bois… A la vitesse du pas du cheval ! C’est maintenant l’activité de plaisance qui, avec la pêche et la randonnée, fait la vie du canal.

L’idée vacances : louer une péniche, la piloter à son rythme, et s’offrir une vue originale sur l’intérieur du pays.

http://otsi.blain.free.fr/index.php/fr/decouvrir/le-canal.html

1er janvier 1842 : la voie d’eau entre Nantes et Brest de 360 km est ouverte à la navigation sur toute sa longueur8 ;

1858 : inauguration du canal par Napoléon III et l’Impératrice Eugénie sur le site de l’écluse maritime de « Guilly Glaz ».

Le développement du chemin de fer à partir des années 1850 (notamment la ligne Carhaix-Châteaulin-Camaret en 1911), la construction de routes et la construction du barrage hydroélectrique de Guerlédan (qui isole les parties finistérienne et costarmoricaine du reste du réseau et donne naissance au plus grand lac artificiel breton, le lac de Guerlédan) à partir de 1923, mettent un terme au « fret » (composé de denrées alimentaires — céréales, vins, sucre, sel ; de matières premières — bois, sable de Loire, ardoise, tuffeau angevin, houille pour les forges de Loudéac ; engrais agricoles — chaux du Maine et Loire, sable calcaire ; produits divers — charbon, cire, chanvre, lin…9) par voie d’eau douce entre Nantes et la rade de Brest, d’autant plus que le canal était d’un gabarit trop faible pour la batellerie bretonne qui avait pourtant motorisé ses bateaux dans les années 1930. Le trafic, ayant progressé de 10 000 tonnes (1859) à 174 000 tonnes (1911), a dès lors décliné. C’est en 1942 que le dernier chaland franchit l’écluse de Châteauneuf-du-Faou10.

Aujourd’hui, les chevaux de halage (dont la vitesse moyenne était de 2 km/h en charge) ont laissé place aux pêcheurs, promeneurs et sportifs. Gabares et chalands disparus, le canal n’ouvre plus ses écluses qu’aux amateurs de canoës ou kayaks, aux plaisanciers sur péniches, voiliers ou bateaux motorisés, l’outil industriel et commercial s’étant mué en axe touristique.

La Loire-Atlantique comporte 18 écluses sur environ 74 km. L’écluse no 1 de Saint-Félix délimite le début du canal entre la Loire et l’Erdre.

Le canal de Nantes à Brest est jalonné de 238 écluses dont 18 englouties par le barrage de Guerlédan (la dernière écluse est la 237 mais il existe une 17 bis à Redon). Les huit cours d’eau canalisés sont : l’Erdre, l’Isac, l’Oust, le Blavet, le Doré, le Kergoat, l’Hyères et l’Aulne. On dénombre trois biefs de partage sur le canal de Nantes à Brest : Bout-de-Bois (altitude 20 mètres), Hilvern (altitude 129 m), Grande Tranchée à Glomel (altitude 184 m). Les travaux ont coûté 160 millions de francs-or de 1860 (soit 150 millions d’euros en 2000).

http://fr.wikipedia.org/wiki/Canal_de_Nantes_%C3%A0_Brest

L’objectif historique du canal était d’abord purement militaire. Il devait permettre de déjouer le blocus naval instauré alors par la marine britannique. Puis il est devenu économique, avec le transport de minerais, de produits agricoles, de bois… C’est l’avènement du chemin de fer qui a été fatal au rôle économique du canal. Aujourd’hui, les plaisanciers ont remplacé les mariniers et ce sont eux qui font revivre ce canal devenu touristique.

http://www.loire-atlantique.fr/jcms/cg_89025/le-canal-de-nantes-a-brest

Le canal de Nantes à Brest, écluse après écluse, est à découvrir à bord d’un bateau de tourisme fluvial ou en vélo, le long du chemin de halage, aménagé spécialement pour cette pratique familiale en toute sécurité.

http://www.campingqualite.com/fr/LieuAVisiter/Pays-de-la-Loire/L%E2%80%99Erdre-et-le-Canal-de-Nantes-a-Brest_l155.aspx

Port fluvial                           Blain                Sites naturels ou aménagés

Blain. Il y a des pontons d’amarrage dans le port, situés près des restaurants, le centre ville est à 5 minutes à pied et il y a des toilettes et des douches sur le quai.

http://www.leboat.fr/destination/france/brittany/the_best_of_brittany_cruise

Voie Verte du canal de Nantes à Brest en Loire-Atlantique

Activités possibles : Course à pied Equitation Marche Vélo tout chemin VTC Vélo tout terrain VTT              Revêtement : Sol stabilisé bien roulant Cette Voie Verte est aménagée sur le chemin de halage du Nantes à Brest par le Conseil Général de Loire-Atlantique. Elle s’étend sur 75 km entre l’Erdre et la Vilaine, de l’écluse de Quiheix à Nort-sur-Erdre à l’écluse de la Digue à St Nicolas-de-Redon. C’est un parcours très sûr (peu de traversées de routes), facile (plat, barrières non gênantes), et bucolique, avec des écluses fleuries et des paysages variés. A noter : le contre halage est aménagé sur 30 km pour les cavaliers. La randonnée peut se poursuivre le long du canal jusqu’à Châteaulin. Cette Voie Verte sur le chemin de halage du canal de Nantes à Brest a été aménagée par le Conseil Général de Loire-Atlantique en 2007. Cela officialise et autorise une fréquentation par les cyclistes et les piétons, qui était déjà importante. Le début du parcours se fait dans un paysage ouvert de culture et d’élevage. Après l’écluse du Pas d’Heric (D39), la voie est sur la rive sud. On rejoint ensuite le vallée de L’Isac, un affluent de la Vilaine, au niveau des étangs et de la base de loisir le Pommain. Deux kms plus loin, on repasse sur la rive nord avant la halte nautique de La Chevalleraie, on longe le château médiéval de la Groulaie, et on traverse le charmant petit port de Blain. Le canal suit la vallée sinueuse de l’Isac jusqu’au port des Bellions. Malgré l’absence de dénivelé, le paysage est assez changeant avec des parties ombragées et des zones humides où la rivière élargie abrite une flore et une faune variées et de nombreuses espèces d’oiseaux.

http://www.af3v.org/spip.php?page=imprimer&voie=227

la création d’un Canal reliant Nantes avec Brest fut approuvée en 1810 par Napoléon 1er afin de déjouer le Blocus Continental imposé par les Anglais.

Commencés en 1806, suspendus en 1814 à cause de la chute de l’empire, les travaux reprendront en 1825 pour s’achever en 1842.

De 1880 à 1930, le trafic commercial est intense sur le canal. Les bateaux non-motorisés sont tirés par des chevaux depuis la berge. Mais de 1930 à 1970, le chemin de fer puis la route lui font concurrence. Sur ce Canal, 238 écluses se succèdent sur 360 kilomètres de longueur. La section du Canal de Nantes-Redon comprend 17 écluses et permet de parcourir environ 100 kms, en empruntant l’Erdre et le lit de l’Isac. Le canal va alors se reconvertir dans le tourisme fluvial. Le temps d’un week-end ou de vacances. On peut aujourd’hui louer des bateaux habitables, pilotables sans permis, et découvrir au fil de l’eau de superbes endroits.Jugez-en par vous même.

http://otsi.blain2.free.fr/1lecanaldenantesabrest.htm

Le Bassin du canal de Nantes à Brest . Blain se distingue par son port important sur le canal qui fait face à un imposant château adossé d’un parc boisé. Le canal se distingue lui par les alignements d’arbres de haut jet (platanes, chênes, peupliers, tilleuls), de peupliers ou plus ponctuellement de conifères le long du chemin de halage. Axe de loisirs par excellence le canal, que l’on l’emprunte à pieds à vélo ou en péniche, est un axe de découverte lent du paysage.

http://www.paysages.loire-atlantique.gouv.fr/pdf/Le_bocage_suspendu_du_sillon_de_Bretagne.pdf

Le canal servait au transport de marchandises. Elles étaient transportées dans des péniches.. Elles s’arrêtaient au port de Blain pour décharger du sable, du charbon, des céréales, des engrais…..sucre,orange, pâte à papier, poteau à mine, sable, colis pour artisans, charbon, barriques de vin, et de la chaux.

Il y a 200m3 ou 200 000 litres d’eau dans une écluse Sur Blain, il y a 6 écluses. Il y en a 17 entre Redon et Nantes. Il y en a 238 entre Nantes et Brest

Sur le port de Blain, aujourd’hui il y a des restaurants. Les péniches ne passent plus ce sont maintenant des bateaux à moteur, des bateaux de tourisme.

Le port n’est plus un lieu de travail mais un lieu de loisirs et de randonnées. On y trouve quelques péniches qui sont à quai et qui servent d’habitation.

On a construit une passerelle pour accéder au château.

http://plano.free.fr/2007/2007-2008/exposes/canal-de-nantes-a-brest.pdf

Si les aspects militaires ont été le premier moteur pour déclencher le projet, très rapidement l’intérêt économique va devenir une évidence. Ce moyen de transport sera d’autant plus utile que les routes à l’intérieur de la Bretagne sont peu nombreuses et de piètre qualité. Le canal contribuera pour une bonne part au développement économique de la Bretagne. http://marie.pilthnipp.pagesperso-orange.fr/

L’Isac est une rivière française qui coule d’est en ouest dans la partie nord du département de Loire-Atlantique. C’est un affluent en rive gauche de la Vilaine. Son cours est en grande partie emprunté par le Canal de Nantes à Brest. La longueur de son cours d’eau est de 69,3 km1. L’Isac prend naissance sur le territoire de la commune d’Abbaretz. Elle se jette dans la Vilaine au niveau de Fégréac, face à la ville de Rieux qui se situe déjà dans le département du Morbihan.

La rivière passait à Blain avant la construction du Canal de Nantes à Brest. Elle n’est maintenant plus visible, mais on devine son cours par quelques méandres sur la rive non aménagée du Canal (généralement la rive sans chemin de halage). http://fr.wikipedia.org/wiki/Isac

Construit en début du 19ème siècle, le canal de Nantes à Brest remplit aujourd’hui un rôle touristique. Des péniches circulent d’écluse en écluse. Des promeneurs à pied ou à vélo empruntent le chemin de halage utilisé autrefois par les chevaux pour tirer les bateaux.

La création du canal, initialement prévue pour des raisons militaires se révéla bénéfique au commerce, et contribua à l’essor de l’agriculture et de l’industrie bretonnes : les péniches, d’abord à voile et traînées par des chevaux sur les chemins de halage, puis à moteur, assurèrent jusqu’aux années 1950 le transport du bois, du sable, du blé, de l’ardoise, des engrais et des denrées alimentaires (café et sucre).

http://www.ouest-atlantis.com/org/velo/tourdelamitie.htm

A partir de 1923, avec la construction du barrage de Guerlédan et les progrès du chemin de fer, la Canal perd peu à peu sa vocation commerciale de transport de marchandises en Bretagne intérieure. Le canal semblait condamné, mais sa vocation touristique le remet au cœur d’une dynamique économique, touristique et environnementale. Aujourd’hui, les chevaux de halage ont laissé place aux pêcheurs, promeneurs et sportifs et le canal ouvre ses écluses aux plaisanciers.

http://www.groupe-ps-bretagne.org/wp-content/uploads/2011/06/220-Dp-bicentenaire-du-Canal-de-Nantes-%C3%A0-Brest.pdf

L’Isac (Rivière)                La Chevallerais               Sites naturels ou aménagés

L’Isac est une Rivière de France d’une longueur de 78.7 km traversant 2 départements.

– 11 communes        http://www.annuaire-mairie.fr/riviere-l-isac.html

L’Isac est une rivière française qui coule d’est en ouest dans la partie nord du département de la Loire-Atlantique. C’est un affluent en rive gauche de la Vilaine. Son cours est en grande partie emprunté par le Canal de Nantes à Brest.

La longueur de son cours d’eau est de 69,3 km1. L’Isac prend naissance sur le territoire de la commune d’Abbaretz. Elle se jette dans la Vilaine au niveau de Fégréac, face à la ville de Rieux qui se situe déjà dans le département du Morbihan.

Longueur 69,3 km Bassin 658 km2 Bassin collecteur la Vilaine http://fr.wikipedia.org/wiki/Isac

L’Isac prend sa source à 45 m d’altitude sur la commune d’Abbaretz et se déverse dans la Vilaine 79 km plus loin à Théhillac. Ses caractéristiques morphologiques sont sensiblement différentes des cours d’eau précédents, avec un bassin versant beaucoup plus ouvert et évasé « en poire » alimenté par un réseau hydrographique dendritique. Il présente une pente moyenne extrêmement faible (< à 0,06 %) sur la partie naturelle de son cours jusqu’au niveau du lieu dit « la Jossai » (aval de Saffré). A partir de ce point il longe le Canal de Nantes à Brest sur près de 7 km avant leur jonction à l’Ecluse du Gué de l’Atelier. A l’aval de cet ouvrage son tracé est donc entièrement canalisé avec un niveau régulé par une série de seuils et d’écluses.

Il reçoit les eaux de ses principaux affluents : le Plongeon, la Goujonnière, la Perche, le Guichardais, le Rozais et la Cave. A la suite de la construction du Canal, les eaux du Remauda ont été déviées de leur cours naturel (confluence avec l’Isac) pour confluer dans ce canal.

Des 3 cours d’eau, l’Isac est celui qui présente le degré d’artificialisation le plus avancé, du fait de la réutilisation de la majeure partie de son cours (35 km) par le canal de Nantes à Brest, construit en 1833. Celui-ci rejoint la vallée de l’Isac à Bout-de-Bois, pour le longer sur sa rive droite pendant 5.6 km avec de confluer avec lui en aval de l’écluse du Gué de l’Atelier, sur la commune de Blain. A Bout-de-Bois, le lit mineur de l’Isac a été transformé en une retenue qui alimente le bief de partage du pas d’Héric en alternance avec la rigole alimentaire de l’étang de Vioreau. Sur ces 5.6 km, le canal, encadré par de digues (chemins de halages) occupe une bonne partie de la plaine alluviale de l’Isac qu’il coupe en deux en certains endroits, soustrayant certains secteurs naturels de lit majeur aux inondations de l’Isac. A partir de la confluence, le canal emprunte le lit mineur de l’Isac qui a donc fait l’objet de nombreux travaux de recalibrage pour être rendu navigable. Il est souvent longé par une digue sur l’une des deux rives. Une succession de plusieurs écluses régulent le cours d’eau jusqu’à ce qu’il se sépare de nouveau du canal en aval de Guenrouët. Le canal, en remblai, longe alors le pied de versant rive droite de l’Isac jusqu’au lit majeur de la Vilaine. A la confluence avec la Vilaine, l’Isac est régulé par une vanne : le « vannage de l’Isac », situé juste en amont de sa confluence avec la Vilaine permet de retenir l’eau de l’Isac ou bien de la pomper dans la Vilaine pour régler le niveau d’eau de l’Isac et de ses marais.

www.loire-atlantique.equipement-agriculture.gouv.fr/…/rapport_AZI_Af…‎

Etang public                   Fay de Bretagne                Sites naturels ou aménagés

Aires de détente       º Fay de Bretagne      – Etang de la Madeleine (photo) : Aire de pique-nique, parcours de santé, p êche

http://www.cceg.fr/jsp/site/Portal.jsp?page_id=383

La Loire-Atlantique propose des milieux variés pour la pratique de la pêche amateur en eau douce : Fleuve, rivières, étangs, réseaux de canaux, de marais etc.

Les plans d’eau        La pêche agréée est praticable sur de nombreux plans d’eau. Pour consulter la liste des plans d’eau par communes voir en dessous de la carte. Etangs de la Madeleine Fay-de-Bretagne

La pêche au coup, technique reine de la Loire-Atlantique !

Cette technique est partagée par de nombreux passionnés dans notre département. Les pêcheurs se répartissent en deux catégories principales : les compétiteurs de pêche sportive au coup, et les pêcheurs de loisir qui aiment taquiner le gardon à l’ombre des frondaisons, seuls ou en famille..! Dans les deux cas, le matériel est lourd et conséquent et l’accès doit être des plus aisés.

Trouvez ou retrouvez les secteurs de pêche les plus adaptés à la pêche au coup en cliquant sur la carte ci-dessous.

Les étangs de la madeleine deux plans d’eau connectés entre eux offrent des postes dégagés et très faciles d’accès. le stationnement se fait à proximité directe du pêcheur.

Il existe plusieurs types de cartes de pêche selon que vous êtes adulte ou adolescent, touriste profane, voyageur-pêcheur d’un jour ou mordu-assidu du quotidien…

Appelée « AAPPMA », une Association Agréée pour la Pêche et Protection du milieu Aquatique est une association oeuvrant pour la pratique de la pêche amateur en eau douce, dans le respect de son environnement, et en participant à la protection du milieu aquatique .

Il existe 32 associations de pêche de loisir en Loire-Atlantique. Celles-ci sont affiliées à la Fédération départementale de Pêche.

Chaque AAPPMA a négocié avec un certain nombre de riverain le droit de passage pour les pêcheurs. Grâce à la réciprocité, un pêcheur membre d’une AAPPMA peut aller sur les lots des autres AAPPMA de Loire-Atlantique.

Ci-dessous, la liste des lots de pêches par AAPPMA. Pour connaitre en détail la localisation du site, il convient de contacter directement les AAPPMA.

La Gaule Blinoise

Canal de Nantes à Brest sur les communes de Héric et Blain

Plan d’eau communal de Blain

Etang du Gâvre à Blain et au Gâvre

Etang de la Madeleine à Fay-de-Bretagne

Blain

http://www.federationpeche44.fr/spip.php?article135

Site de la Madeleine : parc arboré, il a été créé sur le bord de la départementale 16. Il comprend deux étangs gérés par la société de pêche « la Gaulle blinoise », et un complexe culturel nommé « espace Madeleine », celui-ci est composé de deux salles ; une salle en gradin type théâtre de 238 places et une salle polyvalente de 300 places avec scène et cuisines. Le site est également équipé de sanitaires et tables de pique-nique ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Fay-de-Bretagne

Forêt domaniale du Gâvre                  Le Gâvre                      Sites naturels ou aménagés

Le nom de Gâvre est d’origine celtique : gavr désignerait une chèvre ou un chevreuil. Propriété des Ducs de Bretagne depuis le XIIIe siècle, elle fut exploitée au XVIIe s, sous l’impulsion de Colbert, pour approvisionner les chantiers navals : il fallait à l’époque entre 2000 et 4000 chênes pour construire un vaisseau!

Depuis la fin du XVIIIe s, elle est incorporée au domaine de l’Etat. Aujourd’hui, avec 2180 ha de Chênes et 2245 ha de pins, le domaine produit du bois destiné au chauffage, ainsi qu’à la tonnellerie, l’ébénisterie et la construction. Les autorités du parc veillent à l’accueil du public et à la protection des espèces rares.

Dans la forêt, on peut croiser avec un peu de chance rapaces, passereaux, cerfs et chauves-souris. Guide Evasion Bretagne-Sud Hachette Livre 2010 .

Forêt du Gâvre La plus importante forêt du département– et le plus grand massif forestier de Bretagne après Brocéliande– couvre près de 4500 ha au nord-ouest de Blain. Elle est majoritairement plantée de Chênes, mais aussi de pins sylvestres et maritimes, de hêtres, auxquels s’ajoutent quelques châtaigniers, charmes et bouleaux. Elle appartenait au XIe siècle aux ducs de Nantes, avant de devenir propriété des ducs de Bretagne puis de la couronne de France en 1491, après le mariage d’Anne de Bretagne avec le roi Charles VIII. C’est en 1810 que sont tracées les 10 allées qui la desservent, au départ du grand carrefour de l’Etoile (à 5,5 km de Blain par la D15). Vous trouverez à cet endroit le plan des nombreux sentiers qui la traversent, permettant la promenade à pied, à cheval ou à vélo. La forêt abrite également une faune importante : cerfs, biches, chevreuils. Ces derniers, appelés gavr en celtique ont donné leur nom au domaine. On recense également soixante-dix espèces d’oiseaux dans cette zone d’intérêt communautaire pour les oiseaux (classement européen). Parcours de santé, balade ornithologique, cueillette des champignons… Chacun trouvera une raison d’arpenter la forêt …

Géoguide Bretagne sud Gallimard loisirs 2008. p178-179

La forêt du Gâvre couvre 4457 hectares. La forêt du Gâvre, forêt domaniale depuis 1791, est aujourd’hui gérée par l’Office National des Eaux et Forêts.

La gestion des forêts fut une des préoccupations constantes depuis le XVIIe siècle. Le bois de qualité-bois d’œuvre-devait être préservé. Or le bois d’œuvre était la caractéristique de la forêt du Gâvre. Cela modela l’économie de la région et entraina une dynamique. La construction navale, l’architecture, les industries de transformation, les métiers de l’artisanat employaient, chênes, hêtre, châtaigniers, frênes et ormes. Au cœur même de la forêt vivaient bûcherons, charbonniers, sabotiers et, non loin, charpentiers et charrons. La gestion raisonnée de ce massif forestier a réparé les destructions dues au pacage libre d’un trop important troupeau durant le XVIIIe siècle. Aujourd’hui l’équilibre est trouvé qui privilégie écologie, économie et tourisme vert pour notre plus grand plaisir.

Autour de la Forêt du Gâvre date? Béchard-Dizerbo.

La forêt du GAVRE qui couvre 4500 ha est le plus grand massif forestier domanial de Bretagne. « GAVRE » vient du mot celto-breton « gaor » qui signifie chèvre ou chevreuil et qui, par mutation, devient « gavr ». Propriété des comtes de Nantes au XIe siècle, cette forêt devient ducale, propriété des ducs de Bretagne ; puis forêt royale par la réunion de la Bretagne au domaine de France lors du mariage d’Anne de Bretagne avec Charles VIII, le 6 décembre 1491 ; après la Révolution, elle devient domaniale.

La forêt fournit bois de chauffage et bois de construction, ; puis des bois de marine pour construire les vaisseaux dans les arsenaux de Nantes, Lorient et Brest ; elle est source d’énergie pour les forges, verreries et tanneries lors du développement de l’industrie.

Forêt d’aujourd’hui

La forêt est composée pour moitié de feuillus (chêne sessile, hêtre, alisier, merisier) et moitié de résineux (pin sylvestre, pin maritime et laricio). Son exploitation poursuit un triple objectif : la protection d’un milieu naturel sensible et fragile, la production de bois d’œuvre de qualité et l’accueil du public en partenariat avec le Conseil général 44.

Le randonneur dispose de sentiers pédagogiques, pédestres, équestres, d’interprétation ainsi que d’abris et de tables de pique-nique. Il peut également découvrir un arboretum. La période automnale, avec la profusion des champignons, le flamboiement des feuilles et le brame du cerf, est une période privilégiée pour la balade en forêt gâvraise…

http://otsi.blain.free.fr/index.php/fr/decouvrir/la-foret-du-gavre.html

Gâvre proviendrait du breton gavr (ou gaor) signifiant « chèvre » ou « chevreuil ». La forêt fut en effet un des principaux domaines de chasse des ducs de Bretagne pendant le Moyen Âge et la Renaissance.

D’après Ernest Nègre4, il existait au xiie siècle des références à la forêt du Gâvre sous le nom de Gavrium silva. Cet auteur rattache ce nom à une des formes de la langue d’oïl (le gallo) : « Gavre » qui pourrait définir un « droit […] qu’un puissant seigneur percevait sur un vassal qui voulait s’assurer de sa protection ». D’autre part, la localité du Gâvre avait la particularité d’avoir des importants privilèges et exemptions, qui pourrait se définir comme des droits acquis : elle était donc une ville franche. D’après le travail d’Ernest Nègre, l’origine du Gâvres dans le Morbihan serait différente de celle du Gâvre dans la Loire-Atlantique. Elle serait bretonne via le mot gavr, chèvre ou chevreuil.

http://fr.wikipedia.org/wiki/For%C3%AAt_du_G%C3%A2vre

Avec 2180 hectares de chênes, et 2245 hectares de pins, le massif forestier gâvrais produit chaque année quelques 20 000 m3 de bois par an, destiné à la tonnelerie, à l’ébénisterie, la menuiserie, la construction, le chauffage, ou, plus noble destinée encore, la construction navale.

Au XIXè siècle, la Forêt du Gâvre produisait également de grandes quantités de bois utilisé pour la fabrication de sabots. Ce sont entre 16 500 et 30 000 paires de sabots qui étaient exportées jusqu’en Amérique du Nord.

Très récemment, c’est encore dans les hautes futaies de la forêt du Gâvre qu’on est venu s’approvisionner pour la quille de la Recouvrance , goëlette construite par la ville de Brest pour « Brest 92 »; pour le Clipper du Port-Musée de Douarnenez; et pour la construction de la réplique de la frégate de Lafayette « l’Hermione », à Rochefort sur Mer.

Deux sentiers de découverte sont balisés en forêt du Gâvre : l’un présente les divers stades de la chênaie, et l’autre les multiples végétaux présents en forêt. Les enseignants peuvent se procurer de la documentation permettant de préparer des sorties en forêt dans le cadre d’un projet pédagogique avec leur classe.

http://www.legavre.fr/fr/information-detail/22420/la-foret-domaniale-gavre